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.:0rchid

31 décembre 2008

That pretty much says it all.

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9 décembre 2008

Less than zero

Rien ne va mieux.

Rien n'a jamais été construit.

Tout était mensonges et conneries et fausses paroles.

J'ai envie d'hurler de rage, je suis détruite, brisée, lamentablement tuée.

Le fil sur lequel j'avançais sur la pointe des pieds. Coupé.


Balivernes, méchancetés, conneries.



J'ai la rage putain j'ai la rage.


Comment on peut encore faire confiance aux gens maintenant ?


Des enfoirés, des beaux enfoirés.


La vie est une conne, les gens l'alimente.



Crever dans une solitude qui ne ment pas.

8 décembre 2008

You must hear

Tu sais c'est simple de vivre, le plus dur c'est de survivre au final, de se supporter, de s'aimer. Après on aime les autres, puis quelqu'un en particulier. Là commence les ennuis. Toi et l'autre, la distance, parfois, et on s'aime moins. On se dit que c'est dur, on ne sait plus aimer, on ne s'aime plus soi même. Faut passer outre, mettre de grosses chaussures, fermer les yeux, et prendre ma main. Attendre peut être, mais sourire toujours.

8 décembre 2008

Likes/Dislikes

J'aime:
Lolita, doodooland, manipuler du chocolat, la culture, le glamour, le baroque, mon blackberry, les nappy, le rock, l'odeur des cheveux des filles, les freaks, les stilettos, les garçons qui aiment les garçons, question pour un champion, lire purple fashion mag en sirotant un frappuccino chocolat double topping chocolat, eclats de noisettes, double crème topping canelle et vanille, les black devil, le joker dans batman, taper des mots aux hasard dans les images google et voir le résultat, les frites, l'odeur de l'essence et de la colle, lire les forum "santé-médecine" et "sexualité-couple", les activités manuelles, faire des gâteaux, parler en répliques de films, les gens qui ont du vocabulaire et qui sont cultivés, les nuggets de poulets, John Galliano, les costumes Slimane, les mignonnettes de vodka, les aéroports, les candélabres, les bougies noires, effiler la mozzarella, Dita Von Teese, les livres de Beigbeder, mon vaio, le fond d'écran de ma psp, les films avec Nicolas Cage, le king size bed de ma mère, voir les artistes que j'aime en concert, écouter la pluie pour dormir, réchauffer les fruits trop froids sous mon t-shirts pour pas me faire mal aux dents, , les présentatrices de la météo, cacher la télé avec mon pouce en usant de la perspective, prendre des photos, enlever la feuille dorée qui couvre la nutella, couper mes fourches en cours, les crica'choc, les langues étrangères, mettre des crèmes de jour, le parfum de la peau au reveil, presser les emballages des wings dans les rayons frais, avoir une belle manucure, les gens motivés, prendre un bain brulant après une grosse pluie,le champagne, les chaussons aux pommes, ben&jerry's cookie dough et cherry garcia, embrasser une jolie fille, boire du vin en ecoutant du jazz, le gel douche a la noix de coco, brenda dans le coeur à ses raisons, venom, les yeux de Ian Somerhalder, l'amer de la cocaïne, le jus de litchi, boire du lait concentré sucré a même le tube, les cartes SD, les pendules qui lisent l'avenir, entendre quelque chose de méchant sur quelqu'un que je n'aime pas, passer une journée entière pour me regarder une saison d'une série que j'aime, écrire, faire a manger en rentrant de boite, voir quelqu'un tomber dans la rue, le clap a l'ouverture des bocaux en verre, frissoner de bonheur, savoir qu'on m'aime, les prostituées, inviter quelqu'un au resto, les jolis pieds, le metro, les soldes, les mirroirs, la passion, coller des étoiles fluo sur mon plafond, cacher des menottes dans mon tirroir a culottes, les paravents, les photos des années 30, être fière d'un dessin, le fer forgé, les bains de minuits, le zebra à aqualand, les barbies de collections, laisser un petit pois dans mon assiette, la meringue pas cuite, les chips de banane, les bisous dans le cou, les massages aux huiles essentielles, la purée maison, le galak, recevoir ma paye rt la claquer dans une journée shopping, Buffy 5#22, m'immerger dans mon bain et écouter mon cœur battre, tricher au monopoly.

J'aime pas:
Les gens qui trichent au monopoly, les moustiques, les touristes, les piqures, parler d'argent, le martini, les plants foireux, les dreadlocks, les personnes âgées au volent, les gens en retard, le mensonge, l'insensibilité, les huitres, les marrons, les choux de Bruxelles, les betteraves, les tripes, faire des cauchemar portant sur des trucs qu'on ferait à mes yeux,  les indécis, les fringues du commerce équitable, les administrations, les gens qui collent des affiches pour le FN, les pédophiles, bronzer, me faire siffler dans la rue, ma peau, les radio crochets télévisés, les personnes âgées, les enfants, les médecins, les adolescents mâles, certains adultes, faire le ménage, me lever tard, Charles Trenet, Tokio Hotel, mon armoire, l'odeur des égouts, finir une bouteille d'eau, l'odeur des vieux, les hôpitaux, la vieille qui chante du Piaf devant le Lidl, quand des gros porcs se tiennent à proximité de moi, le fait que je m'inquiète toujours de la fraîcheur des aliments qui sortent de mon frigo, la fin des vacances, les crises d'angoisse, faire un bide en voulant être drôle, les méduses, faire pipi dans la nature, le bruit de l'aspirateur, les féministes, Dijon, les gens mentalement dérangés, le vernis écaillé, sortir les chiens, l'odeur du shit, les garçons qui mettent des barrettes dans leurs cheveux, l'endurance sportive, les gens qui gardent leur chaussettes pour faire l'amour,  les gens qui parlent trop pour ne rien dire, manger des biscuits cassés, les mamies qui farfouillent dans leur sac pour chercher leur carte de fidélité à la caisse dans les supermarché, oublier de boir un verre d'eau avant de dormir si j'ai bu, les pokemon, être à découvert, être à court d'inspiration..

8 décembre 2008

That tingling inside.. was gone.

J'ai courbaturé mon corps à la passion de l'Adore. Quand je marche je flotte un peu et la douleur est lancinante juste là où j'ai fondu un peu dans la nuit. Ce matin dans les rues les plus tristes de Saint il y avait de l'air frais qui me percutait au corps à corps, et le ciel était bleu et je me sentais bien seule dans ma balade.
Je voudrais taillader le mot légèreté le long de mon bras, me le graver dans un des lobes en tant que leitmotiv social, mal-heureusement, les choses sont plus compliquées que cela. J'ai un poids mort sur les épaules, comme un cadavre d'homme entre les jambes et il est possible que ces fantômes ne m'aident pas beaucoup.
Des fois ma mère est fière. Elle raconte aux gens que je suis chocolatière et que je vais pouvoir la soigner comme ça, elle le dit avec un sourire, mais dans le fond, c'est simplement évident. Le monde tourne et les gens ne s'accrochent presque plus. Au dehors le soleil s'impose dans son coucher. Je pense qu'il serait bien que ce soit un présage.
J'ai envie de démolir mon passé pour qu'il arrête de me broyer les os un à un ; j'ai à moi une fuite temporelle de quelques nuits, histoire de. Et évidemment, entre nous la perfection n'est jamais de mise. Embellis la mise. Il n'y a rien qui fasse que je ne me sente pas constamment humiliée.

Comme un rappel de chair à.

Mais elle .. me demande ce qu'elle à dans dans le coeur verre, ce soir. On manque aux gens ? Boah.

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7 décembre 2008

Wake up Court'

C'était sous mes yeux, avec du sable et de la musique qui me rendait douloureuse. On vomit comme on peut. Glacée sans son souffle et ma peau s'abandonne à l'automne. Le ciel est gris et rose, le vent me givre la poitrine. Je ne pleure plus, je suis au-delà des larmes, froide et douloureuse. J'attends que les minutes s'effondrent devant moi, les genoux à terre et la fusion me rend folle, aliénée dans son Néant. Il est ma cicatrice, ma plaie, mon œuvre et l'Hiver passé me manque, mes larmes et l'anamorosa en attente. S'atteindre sous la pâleur, je suis sage sous mes draps pâles, peaux. La bouche délicate et l'amertume tendrement, mes doigts dessinent des échelles imaginaires. Je n'ai plus rien à dire, à écrire. C'est difficile, le désir m'écorche à se fondre devant moi. Le goût métallique du sang sur les lèvres, je souris. Demain, peut-être. Mais sans moi.

21 novembre 2008

No txt anymore

Et je vais aller tuer l'ordalie de mes folies douces contre le tiède de ses seins.

Demain.
Après demain.
Après après demain.

Et tu n'es pas conviée.

21 novembre 2008

not SO White

Je suis amoureuse. A m'en rompre les os, à m'en claquer les poignets dans les murs, à m'en taillader le corps, à en devenir folle, à en pleurer tellement fort que les larmes sont au-delà même de la raison et du contrôle. Et alors je songe à ma première année de fac, et suis-je triste parce que je pleure ou c'est parce que je suis triste que je pleure.
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Et je crois que quelqu'un un jour a volé la clé de ma -bonne- santé mentale.
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Et je suis rongée, bouffée de l'intérieur d'être inondée de tant d'amour pour Elle ; et par Elle, peut-être ; et c'est tellement simple de hurler de haine au téléphone et c'est tellement lamentable de fondre devant toute sa beauté quand elle est devant moi. Et écarter les jambes et le laisser faire ce qu'elle sait certainement faire de mieux, et je crois que je voudrais mourir d'être si heureuse à ce moment là, cet instant précis où tout disparaît ; où la plénitude est telle que l'on pourrait penser que je suis restée in utero, inexistante et en deçà de la réalité même, tant ma jouissance me suffoque, m'étrangle, m'étouffe.
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Je ne devrais pas mériter autant de plaisir.
Je baigne dans l'attente, un sourire aux lèvres. Les ou un .. Après-midi douceur.
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Et pourtant moi aussi je pourrais parler de tournent. Charnière, deux eaux, ce que tu voudras. Même si cela va bien plus loin qu'une simple période estudiantine, à base de soirées et d'histoires d'amour auxquelles on tâche de ne pas accorder trop d'intérêt ; je ne sais pas si ça va vraiment plus loin, ou si c'est juste quelque chose, une vie, un tournent, une période, des rêves, des aventures qu'il ne peut certainement pas concevoir ou envisager ; ou je ne sais pas. De la décadence à l'état pur. Des pseudonymes et l'inconnu. Psychédélie et destruction.
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Sauf que je ferme les yeux devant mon tourment ; je ferme les yeux et rêve à autre chose, car elle est le responsable de mon état de plénitude foetale. Alors elle est bien au-delà de tout le reste.

16 novembre 2008

Seth

"Oui.. tu sais.. tu pourrais prendre soin de moi. Me baigner, me talquer, me parfumer, me maquiller, me baiser et m'aimer. Je pourrais adorer ça. "

16 novembre 2008

When I was a child I knew that the stars can only get brighter

Rapide dans ce qu'il y a à déambuler. Je tangue, je me cogne dans la foule ; la folie s'est achevée au bout de six heures et j'ai détruit des lianes de fibres capillaires. La, en noir, la tête haute, des doigts au fond de la gorge. On longe les couloirs d'hôpitaux psychiatriques, on sonne aux portes des services d'addictologie, des cliniques thérapeutiques des troubles du sommeil. J'ai un sourire en coin, le regard wannabe bleu.

Dans la fusion je pense comme à un assassinat. Ce qu'il y a de doucereux entre nous et la violence des maux au travers. Sa peau à mourir de trop la caresser et mon corps courbaturé dans le projet sexuel. Je ne reconnais ni mon regard ni mon visage, je pense aux années quarante et je m'effondre un verre de vin rouge à la main. La seule chose qui nous reste ayant la couleur du sang. Sanglante. [Passion]

Je songe au plancher miel dans ma chambre d'enfant, aux paroles de cristal qui ont givré mes bras il y a longtemps et à la chaleur sous mes draps de coton alors que cela n'aurait jamais du. Mes cheveux sentent délicieusement bon.
Son corps me manque, son souffle, son âme entre mes jambes.

Je baisse les paupières, la tête me tourne.
L'anamorphose.

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